TROISIÈME PARTIE
Avez vous recours au(x) médium(s), au(x) prêtre(s) pour vous aider dans vos enquêtes ou pour aider vos clients?
Non, notre approche est purement technique. Nous relevons des données à partir d'enregistrements visuels et sonores. Un des conseils que l'on donne aux gens aux prises avec un esprit, c'est de dialoguer avec lui. Il faut qu'il sache qu'il dérange votre vie, qu'il sache aussi ce à quoi vous vous attendez de lui s'il compte rester.
Avez-vous déjà expérimenté une enquête qui dépasse votre entendement ou vos attentes? Si non, quelle serait votre réaction si une tel chose se produisait?
Nous n'avons jamais d'attente vis-à-vis nos sujets d'enquête. Notre premier réflexe est de chercher des tuyaux qui cognent, les sources de forts champs électromagnétiques ou d'autres choses qui peuvent altérer les perceptions. Nous cherchons avant tout les réponses rationnelles. Toutefois, lorsqu'on est témoin d'un phénomène inexplicable, cela nous surprend toujours.
Dans «Paranormal State», il y a eu mention que certains membres de leur équipe se sont fait harcelés (par un esprit) chez eux après avoir enquêté sur un lieu hanté? N'avez-vous pas peur que la même chose puisse vous arriver? Ne craignez-vous pas de déranger quelque chose qui pourrait vous nuire dans votre vie personnelle?
Jusqu'à présent nous n'avons jamais remarqué ou senti que nous avons été suivi par un esprit. La crainte ne nous habite nullement parce que notre pratique pour établir le contact avec l'esprit est exactement celle que l'on suggère à nos clients. C'est-à-dire que nous cherchons à établir le contact par le respect, la manière douce. On essaie de trouver la corde sensible pour qu'il y ait des manifestations, mais sans choquer. La peur n'a pour résultat, que le trouble de la pensée.
Dans une de vos entrevues passées vous avez mentionné que les cas de possession ne font pas partie de vos recherches. Pourquoi ne pas tenter d'investiguer dans ce genre de cas, si on suppose qu'une entité invisible est la source du problème.
Selon nous, les cas de possession relèvent plutôt du domaine de la psychologie que du domaine des esprits. D'après nos constatations, les plus grands cas de possession sont arrivés dans des familles fanatiques de religion. Le lavage de cerveau des fervents adeptes expliquerait le changement soudain de leurs comportements. Ils se croient possédés du démon, parce qu'ils croient qu'ils ont enfreint les lois de leur Dieu.
Advenant que vous réussissiez à prouver hors de tout doute que les esprits nous entourent, que ferez-vous ensuite?
Nous continuerons, bien sûr, nous aurions davantage de travail... De toute façon même si cela arrivait, cela ne ferait que soulever d'autres questions.
Non, notre approche est purement technique. Nous relevons des données à partir d'enregistrements visuels et sonores. Un des conseils que l'on donne aux gens aux prises avec un esprit, c'est de dialoguer avec lui. Il faut qu'il sache qu'il dérange votre vie, qu'il sache aussi ce à quoi vous vous attendez de lui s'il compte rester.
Avez-vous déjà expérimenté une enquête qui dépasse votre entendement ou vos attentes? Si non, quelle serait votre réaction si une tel chose se produisait?
Nous n'avons jamais d'attente vis-à-vis nos sujets d'enquête. Notre premier réflexe est de chercher des tuyaux qui cognent, les sources de forts champs électromagnétiques ou d'autres choses qui peuvent altérer les perceptions. Nous cherchons avant tout les réponses rationnelles. Toutefois, lorsqu'on est témoin d'un phénomène inexplicable, cela nous surprend toujours.
Dans «Paranormal State», il y a eu mention que certains membres de leur équipe se sont fait harcelés (par un esprit) chez eux après avoir enquêté sur un lieu hanté? N'avez-vous pas peur que la même chose puisse vous arriver? Ne craignez-vous pas de déranger quelque chose qui pourrait vous nuire dans votre vie personnelle?
Jusqu'à présent nous n'avons jamais remarqué ou senti que nous avons été suivi par un esprit. La crainte ne nous habite nullement parce que notre pratique pour établir le contact avec l'esprit est exactement celle que l'on suggère à nos clients. C'est-à-dire que nous cherchons à établir le contact par le respect, la manière douce. On essaie de trouver la corde sensible pour qu'il y ait des manifestations, mais sans choquer. La peur n'a pour résultat, que le trouble de la pensée.
Dans une de vos entrevues passées vous avez mentionné que les cas de possession ne font pas partie de vos recherches. Pourquoi ne pas tenter d'investiguer dans ce genre de cas, si on suppose qu'une entité invisible est la source du problème.
Selon nous, les cas de possession relèvent plutôt du domaine de la psychologie que du domaine des esprits. D'après nos constatations, les plus grands cas de possession sont arrivés dans des familles fanatiques de religion. Le lavage de cerveau des fervents adeptes expliquerait le changement soudain de leurs comportements. Ils se croient possédés du démon, parce qu'ils croient qu'ils ont enfreint les lois de leur Dieu.
Advenant que vous réussissiez à prouver hors de tout doute que les esprits nous entourent, que ferez-vous ensuite?
Nous continuerons, bien sûr, nous aurions davantage de travail... De toute façon même si cela arrivait, cela ne ferait que soulever d'autres questions.
-- fin de l'entrevue --
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